Visite architecturale du bâtiment Atelier d’A, qui fut l’Atelier de l’architecte et urbaniste Hubert Lefrançois

L’Atelier d’A Espace Hubert Lefrançois est une maison contemporaine d'architecte, en bois, verre et ardoise.

Construit en 1992, ce bâtiment, d'une esthétique sobre et moderne, est conçu selon les critères de haute qualité environnementale et d'intégration paysagère Son architecture correspond au patrimoine du XXe siècle, dans l'esthétique et la fonctionnalité.

Les visiteurs pourront aussi s’intéresser à divers aspects du métier d’architecte et d’urbaniste.

En effet, à l’occasion de cette visite, plusieurs réalisations de l’Atelier d’Architecture et d’Urbanisme d’Hubert Lefrançois seront présentées et commentées.

Entre le début des années 1980 et son décès en 2008, l’architecte Hubert Lefrançois a réalisé des constructions pour les collectivités territoriales (école publique, logement social, équipements structurants (pôle intermodal de transports urbains…) et pour des commanditaires privés (logement individuel, locaux professionnels, lieu de culte…).
Notamment :
Bâtiments scolaires : Écoles communales et centre de loisirs à Conches, Évreux, Val de Reuil, renovation-extension de lycée professionnel à Barentin
Équipement sportif : agrandissement de la Piscine Jean Bouin, Évreux
Bâtiment religieux : église de la Fraternité à Val de Reuil
Équipements structurants : Pôle intermodal de transports urbains à Évreux, Point Jeunes à Gravigny,
Logements sociaux : Évreux, Gisors, Louviers, Val de Reuil

Si Hubert Lefrançois a utilisé les procédés constructifs et les matériaux selon l’économie et la fonction du bâtiment prévu, il s’est intéressé très tôt à la construction en “ossature bois” dont il a été l’un des pionniers en France. Comme urbaniste, il a réalisé de nombreuses cartes communales (ex PLU) en Normandie, ayant le souci de concilier le dynamisme de la collectivité et la préservation de son environnement (zones humides, prairies sèches, espaces boisés, faune, flore…) .

Parmi les projets dont il n’a pas pu connaître la concrétisation, le “Kiosque à musique” lui était particulièrement cher, car il combine architecture, art, culture populaire, convivialité, insertion dans la cité, ses parcs et jardins publics.